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Terme désignant la porte (partie mobile) par opposition à la huisserie (ébrasement, chambranles, listels) qui est la partie fixe.

Dispositif mécanique installé sur une porte pour la refermer automatiquement lorsqu’elle est ouverte.

Opération consistant à enlever de la matière tant sur la feuille de porte que sur l’ébrasement (ou le dormant) afin de pouvoir y insérer les charnières.

Partie droite ou de biais d’une baie de porte se trouvant dans l’épaisseur du mur ou de la paroi. L’ébrasement est le point de fixation de la porte. Encadrement de la porte est constitué de deux montants verticaux, reliés par une traverse supérieure.

Le cylindre est la pièce où l’on insère la clé pour l’ouverture et la fermeture de la serrure. Plusieurs synonymes : canon, barillet.

Pièce de bois décorative destinée à habiller la traverse médiane de l’ouvrant d’une porte.

Charnière : Elément de mécanisme assurant une liaison pivot. Les charnières permettent l’articulation de battants non-démontables. Charnière/paumelle : éléments métalliques placés de part et d’autre d’une porte et de son ébrasement, permettant l’ouverture/fermeture de celle-ci.

Accessoire de finition intérieure qui habille les fiches (ferrure de rotations, appelées également les gonds) d’une porte.

On ne parle pas de « porte » mais bien de « bloc-porte ». Ce terme inclut l’ensemble de la construction : le vantail, son ferrage et son huisserie.

Sabot de fonte à la porte d’extérieur.